Choeur du Luberon
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SEI SOLO


Dévoiler une musique dissimulée dans les Sonates et Partitas pour violon seul de Joh. Seb. BACH


Géraldine JEANNOT - soprano
Maximin MARCHAND - contre-ténor
François ISSEREL-SAVARY - ténor
Johan RIPHAGEN - basse
Radboud OOMENS - violon

Production Le choeur du Luberon

 

 

Pourquoi cinq personnes pour interpréter les Sonates et Partitas?

Parce qu'une musicologue allemande a découvert que ces pièces pour violon seul - gageure et crainte respectueuse de tout violoniste qui se respecte - renferment une musique dissimulée aux oreilles non averties. Il faut donc bien un violoniste accompagné par quatre chanteurs chevronnés pour révéler ce qui n'est pas écrit, entendre ce qui est caché.

Et parce qu'on est pas trop de cinq pour révéler l'impalpable.

 

« Je m’imagine Jean-Sébastien Bach à son clavier. Dans sa tête les sons majestueux des cathédrales polyphoniques construites par ses précurseurs. Il cherche, il trouve. Sous ses doigts le tissu multicolore d’une fugue merveilleusement construite se déploie et remplit l’espace tel une prière, tel une sculpture. Et soudain cette idée : pourquoi ne pas faire la même chose juste avec un violon : construire des cathédrales de sons, ad majorem Dei gloriam.

Alors il prend son violon. Il cherche et trouve : Sei solo a violino senza basso accompagnato »

                                                                                                                                                      J.Riphagen

Réservation Concerts

Dossier de presse SEI SOLO

LE PROJET

 

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.


    Bien qu’il puisse paraître étonnant de convoquer Lavoisier pour parler d’un projet sur J.S.Bach, c’est en se plongeant dedans que nous apparaît la limpidité de cette maxime : nous ne perdons rien, n’ajoutons rien, et ce faisant pourtant, transformons tout.
        Mais commençons par le début : Helga Thoene, violoniste et musicologue s’est penchée, comme nombre de ses collègues, sur les Sonates et Partitas BWV 1001-1006 qui sont parmi les plus analysées des œuvres de Bach. Complexité des compositions, virtuosité requise, méticulosité de la conception… On ignore jusqu’à la raison de leur écriture. Nombreux sont les interprètes qui ont l’intuition d’un au-delà de la beauté et de l’inventivité, d’un « quelque chose » qui, comme un message mystérieux, nous touche et nous interpelle, que l’on joue ou que l’on écoute cette musique. Certains mettent en évidence l’architecture, d’une finesse et d’une solidité rarement atteints ailleurs. D’autres y voient des messages numérologiques.
    L’une des conclusions de Thoene est que Bach aurait voulu donner un contexte religieux à ce cycle d’œuvre en l’associant avec les trois fêtes chrétiennes principales : Noël, Pâques et la Pentecôte. Pour étayer son hypothèse, elle se base sur des nombres (de mesures, de notes) et sur la gématria - la science qui transpose les notes en lettres et en chiffres, mais oui ! Autre argument déterminant : des lignes mélodiques simples, dissimulées dans des phrasés plus larges du violon, qui font référence à des mélodies chorales dont le texte, une fois identifié, peut indiquer l’appartenance à l’une de ces fêtes. Ce sont ces lignes que nous nous attachons à identifier et à rendre audibles.
    Si l’on peut toujours gloser sur ces découvertes, il est indéniable que mettre en avant les structures mélodiques souterraines de l’œuvre en les chantant y rajoute une puissante dimension supplémentaire : entendre ce qui est caché. C’est quelque part un envers de l’oeuvre que l’on vous propose de découvrir ici : la mise en lumière des flux qui l’innervent, la sève mystique qui circule sous l’archet.

    Ainsi nous ne perdons rien, n’ajoutons rien, et ce faisant pourtant, transformons tout.

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L'EQUIPE

Radboud Oomens

Élève du célèbre violoniste hollandais Herman Krebbers Multirécompensé lors de concours internationaux, il est, dès ses 19 ans, premier violon pour les orchestres d’Arnhem en Hollande et Hamburg en Allemagne, et devient au fil de sa carrière un chambriste renommé. C’est Helga Thoene qui lui inspire le projet de jouer les sonates pour violon seul accompagné par des chanteurs, les fameux « Sei solo a violino », qu’il a étudié de nombreuses années. 
Radboud a joué de longues années sur un violon Nicola Amati (1650), qu’il a finalement mis à disposition des jeunes talents. Actuellement il joue un violon Alain Carbonare fait en 2017 à Mirecourt.

 

Géraldine Jeannot

Formée aux conservatoires d’Avignon et d’Aix en Provence, elle se perfectionne avec des artistes tels que Philippe Jaroussky, Claire Lefiliâtre, Stéphane Fuget. Outre ses rôles à l’opéra, elle est régulièrement soliste pour différents ensembles de la région PACA. Elle co-fonde en 2020 l'Ensemble Musica ex Anima, spécialisé en musiques baroque et renaissance.

 

 

Maximin Marchand

Comédien diplomé de l’ERACM et contreténor formé au conservatoire d’Aix en Provence. Sept ans dans la troupe d’Yves Beaunesne (Le Cid, Ruy Blas, Tartuffe), il multiplie depuis les collaborations avec entre autres : l’Opéra d'Avignon, les Voix Animées, Les Éléments, Musica Ex Anima, L’Archivolte, le Songe du Roi, la Maîtrise des Bouches du Rhône, le Choeur du Luberon et le compositeur Camille Rocailleux.

 

 

François Isserel-Savary

Autodidacte, il est d’abord choriste et se familiarise très tôt à la technique vocale au sein d'ensembles vocaux à Brest, Paris et en Provence, avant de se spécialiser dans sa tessiture de ténor léger / haute-contre. Il rejoint en 2015 la classe de chant baroque de Monique Zanetti à Aix-en-Provence, et professionnalise depuis 2016 sa pratique du chant lyrique auprès de la soprano Brigitte Peyré,

 

 

Johan Riphagen

Chef d’orchestre formé à La Haye avec Ed Spanjaard, à Barcelone avec Antoni Ros-Marbá et à Munich avec Sergiu Celibidache. Compositeur, il a écrit pour différents projets de films et théâtre, ensembles symphoniques et chorales ainsi que de la musique de chambre. Quelques oeuvres sont enregistrées et éditées sur Emergo Classics. Directeur musical du Choeur du Luberon, passionné par l’oeuvre de J. S. Bach, dont il a donné nombreuses compositions en concert. Il a étudié les recherches de Helga Thoene et a fait les arrangements pour le projet selon ses propositions.

Crédits: Simon Prelle / Julien Sabdes
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